Les êtres vivants, tout comme les lieux n’ont pas besoin d’être juste « nettoyés », mais guéris de l’histoire et des mémoires qu’ils portent. 

A ce moment là, la blessure se referme et chasse d’elle-même les « indésirables» qui s’étaient infiltrés par la porte ouverte. Parfois seulement, un petit coup de pouce supplémentaire est nécessaire.

Si on ne fait que « nettoyer », il est fréquent d’avoir besoin de le refaire régulièrement.

 

Une pollution n’est présente que si une souffrance sous-jacente n’a pas été reconnue et dépassée, que ce soit pour un lieu, qui garde la mémoire des faits, ou pour un être vivant.

Il s’agit le plus souvent de mémoires inconscientes et lointaines…

 

Lorsque je me connecte à un lieu, je libère l’histoire ancienne encore active, et mets du mouvement dans l’histoire présente. 

Le travail réalisé vient en aide au lieu, mais également à ses habitants.

Un commerce qui stagne, une propriété qui ne se vend pas, la « poisse » au quotidien, un état de santé fragile, une nervosité ou hypersensibilité chez des personnes démentes ou des enfants, de la fatigue, un climat familial sous tension, sont des situations dans lesquelles j’ai été amenée à intervenir. 

 

En pratique

Je travaille la plupart du temps seule,

à distance.

Je me connecte, après autorisation, au lieu et aux personnes concernées, et ma sensibilité kinesthésique se met au service d’un chemin de guérison.

Mes outils sont personnels et intuitifs.

 

Tarif : 60 euros de l’heure.